FO PACIFICA SIRCA
ELECTION 2019 DU CSE
Voici la profession de foi FO que vous pouvez retrouver avec la liste de nos candidats sur l'espace RH Intranet
PRIME MACRON 2020
LA CHARGE EST TOUJOURS LÀ
Ce début d’année a, dans la droite ligne de l’activité de l’année dernière, encore été mouvementé en terme de charge de travail pour chacun de nous.
Nous pourrions nous satisfaire du fait que l’entreprise soit en progression rapide depuis tellement d’années. Cependant, cette croissance s’accompagne d’une instabilité qui s’installe et force est de constater que les salariés restent le seul canal d’ajustement dans la gestion de cette charge au travers de sessions en plus, d’heures supplémentaires (officielles ou officieuses)…
Ainsi, que ce soit au siège ou en unités, il est incontestable que les conditions de travail, même si elles sont encore assez différentes d’un site à l’autre, se détériorent.
Au siège, la direction ne semble pas se donner les moyens et laisse de nombreux postes à recruter en souffrance, le siège a appris à travailler en sous-effectif chronique.
Pour les UGS, ces trop nombreux mois de surcharge de travail rendent la situation inacceptable. Nous avons tous vécu ces moments difficiles, ces moments où le travail nous met à l’épreuve, la fatigue mentale et physique, des collègues qui craquent…
Il est inacceptable que le travail détruise les gens. Nous devons ensemble faire changer les choses.
Nous avons, à de nombreuses reprises, alerter la direction sur ce qu’elle appelait le sentiment de charge et que nous considérions comme un danger potentiel pour la santé de chacun d’entre nous.
Cependant, même lorsque cette dernière s’est saisie du sujet, le temps de latence dû aux process de recrutement, du temps de formation des recrues, ainsi que les départs de collègues entre temps, font que l’entreprise a sans cesse des mois de retard entre la charge entrante et les effectifs pour y faire face. L’entreprise ne fait que courir après un retour à la normal.
La direction doit comprendre qu’embaucher plus tôt ou tout simplement embaucher « plus » pour anticiper les départs, les hausses de charge, les temps nécessaires à la formation n’est pas une simple charge comptable mais surtout un investissement.
Le remplacement d’un salarié qui part par un salarié non formé reporte une charge considérable sur les autres, il faut pouvoir être toujours en anticipation sur les effectifs pour que ces pics de charge ne mettent pas à mal toute une équipe.
Le bien-être des salariés reste un investissement sur l’avenir et le meilleur moyen de fidéliser ses salariés.
PACIFICA est un superbe outil, notamment grâce l’implication hors normes de chacun et chacune qui la compose. La direction se doit d’en prendre soin.
Nous avons beaucoup échangé avec la direction sinistre qui accepte désormais de réfléchir à l’évolution de l’outils téléphone qui devient de moins en moins supportable pour les assistants.
Les salariés seront justement mis à contribution dans des réflexions visant à améliorer le système actuel.
Nous pourrions nous satisfaire du fait que l’entreprise soit en progression rapide depuis tellement d’années. Cependant, cette croissance s’accompagne d’une instabilité qui s’installe et force est de constater que les salariés restent le seul canal d’ajustement dans la gestion de cette charge au travers de sessions en plus, d’heures supplémentaires (officielles ou officieuses)…
Ainsi, que ce soit au siège ou en unités, il est incontestable que les conditions de travail, même si elles sont encore assez différentes d’un site à l’autre, se détériorent.
Au siège, la direction ne semble pas se donner les moyens et laisse de nombreux postes à recruter en souffrance, le siège a appris à travailler en sous-effectif chronique.
Pour les UGS, ces trop nombreux mois de surcharge de travail rendent la situation inacceptable. Nous avons tous vécu ces moments difficiles, ces moments où le travail nous met à l’épreuve, la fatigue mentale et physique, des collègues qui craquent…
Il est inacceptable que le travail détruise les gens. Nous devons ensemble faire changer les choses.
Nous avons, à de nombreuses reprises, alerter la direction sur ce qu’elle appelait le sentiment de charge et que nous considérions comme un danger potentiel pour la santé de chacun d’entre nous.
Cependant, même lorsque cette dernière s’est saisie du sujet, le temps de latence dû aux process de recrutement, du temps de formation des recrues, ainsi que les départs de collègues entre temps, font que l’entreprise a sans cesse des mois de retard entre la charge entrante et les effectifs pour y faire face. L’entreprise ne fait que courir après un retour à la normal.
La direction doit comprendre qu’embaucher plus tôt ou tout simplement embaucher « plus » pour anticiper les départs, les hausses de charge, les temps nécessaires à la formation n’est pas une simple charge comptable mais surtout un investissement.
Le remplacement d’un salarié qui part par un salarié non formé reporte une charge considérable sur les autres, il faut pouvoir être toujours en anticipation sur les effectifs pour que ces pics de charge ne mettent pas à mal toute une équipe.
Le bien-être des salariés reste un investissement sur l’avenir et le meilleur moyen de fidéliser ses salariés.
PACIFICA est un superbe outil, notamment grâce l’implication hors normes de chacun et chacune qui la compose. La direction se doit d’en prendre soin.
Nous avons beaucoup échangé avec la direction sinistre qui accepte désormais de réfléchir à l’évolution de l’outils téléphone qui devient de moins en moins supportable pour les assistants.
Les salariés seront justement mis à contribution dans des réflexions visant à améliorer le système actuel.
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