FO PACIFICA SIRCA
NÉGOCIATIONS SALARIALES 2020:
TOUT CA POUR CA !
TOUT CA POUR CA !
Il est clair que la réponse de la Direction à l'engagement sans faille de l'ensemble des salariés n'est pas à la hauteur.
Découvrez ci-dessous notre communication et plus d'explications sur le résultat des négociations salariales 2020.
Découvrez ci-dessous notre communication et plus d'explications sur le résultat des négociations salariales 2020.
NÉGOCIATIONS SALARIALES 2020
Les négociations ont débutées hier.
Vous pouvez consulter les demandes de FO PACIFICA SIRCA ci dessous :
Vous pouvez consulter les demandes de FO PACIFICA SIRCA ci dessous :
POINT DE SITUATION SUR L’ACTIVITÉ
Vous n’êtes pas sans ignorer la situation compliquée dans laquelle nous sommes depuis de trop nombreux mois et encore plus spécifiquement actuellement.
Le 30 juillet, nous avons eu un entretien avec Laurent Desanglois.
Nous avons souhaité qu’il nous donne sa vision sur
-Les conditions de travail des assistants aujourd’hui comment sommes-nous arrivé à un tel constat et comment voit-il l’évolution du poste de l’assistant à court , moyen et long termes
-Le fait que les solutions exposées étaient des outils informatiques et ne tenait pas assez compte selon nous de l’humain.
La direction est consciente que la situation était difficile avant le confinement et dit ne pas l’oublier.
Laurent Desanglois nous a certifié qu’en aucun cas la direction n’avait pour politique de tirer sur la corde et de mettre les assistants dans cette situation avec une telle charge de travail . Ils partagent notre vision que le capital humain de l’entreprise est une richesse et donc qu’il ne devait pas être malmené. Malheureusement selon eux, la situation n’est pas voulue mais subi par tous. Ils reconnaissent qu’à court terme, ils ne trouvent pas de solution avec les contraintes qu’ils se donnent.
Pour eux le confinement a accentué le problème car il a entraîné un manque de ressources pour différentes raisons
-Toutes les embauches prévues n’ ont pu être faites.
Les assistant sont ressortis fatigués par le fait de concilier vie pro et perso en un seul lieu et en même temps . Depuis, l’intensité de la reprise d’activité a fini par avoir raison de leur santé d’où un nombre important d’arrêt maladie à court terme .
-La prise en compte du turn over dans le recrutement a été insuffisante.
Certaines personnes recrutées récemment n’ont pas été retenues ou de sont pas restées , une attention particulière va devoir être portée pour que ces « erreurs » de recrutement disparaissent.
En effet, lors de démissions, les stocks sont reportés sur les effectifs présents dans l’UGS et la charge alors devient insoutenable pour les assistants présents qui se retrouvent avec un encours trop élevé. Ce report de charge entraîne un découragement des assistants qui peuvent être tentés de démissionner à leur tour .
La direction pense qu’une fois les embauches faites et les recrutés formés les choses rentreront dans l’ordre au niveau des effectifs ( donc dans plusieurs mois…), leur seule crainte restant les Longues Absences Maladies pour lesquelles il n’ ont pas de visibilité de retour et donc ne peuvent recruter en conséquence . …Nous leur avons répondu que l’anticipation serait d’embaucher plus en amont pour palier au turn-over, aux évolutions professionnelles en internes, aux maladies, aux hausse d’activités liées aux EVT…
La direction ne remets pas en cause les prévisions de recrutement, qui pour elle, sont essentiellement basées en fonction du nombre d’ouvertures.
Bien sûr, nous ne partageons pas leur point de vue et pensons qu’une politique de recrutement plus ambitieuse nous aurait épargné cette situation difficiles. Il doit être tenu compte de la charge globale et non des seules nombres de déclarations.
Pour notre part, afin d’améliorer les conditions de travail de chaque assistant et afin qu’elles reviennent à un niveau acceptable, voici les points sur lesquels nous allons demander à la direction des précisions et /ou des objectifs de résultat :
-La gestion des ressources humaine suite à des démissions, des longues absences, des absences courtes,
-Les flux quotidien et hebdomadaire avec la charge en back-office ( ged, mails, agendas, formation, réunion … ) et la charge téléphone ( nombre d’heure n° vert / semaine … nombre d’heure de LD …)
-La gestion des stocks
-Les limites de la polyvalence
-Le télétravail
-Les temps partiels
Pour ce faire, nous souhaitons toujours une étude de postes pour toutes les fonctions réalisée par un cabinet extérieur.
Aussi, nous avons également réitéré nos demandes à la direction, à savoir un maximum de 6 sessions par semaine (5 jours), une baisse du TAT (à définir ensembles) et augmenter l’inter appel. Sur le premier point (6 sessions / semaine) nous avons été entendu mais cela reste provisoire
Nous avons eu ensuite une réunion avec Olivier Rattez.
La solution de la Direction pour palier au surplus de charge que vivent les assistant aujourd’hui nous a ensuite été exposée : le projet de l’embauche au 1 er décembre de 40 personnes déjà opérationnelles sur une ou plusieurs matières en CDI.
La direction a donc choisit de traiter le problème de surcharge en s’attaquant directement aux stocks et avec cette mesure, elle espère réduire le nombre de flux entrants et sortants par assistant .
Les 40 nouveaux embauchés auront pour mission de traités du stock pour un équivalent de 50 000 dossiers.
Dans l’immédiat et ce pour une durée indéterminée ( pour l’instant) , ils seront dégagés de toutes contraintes liées au numéro vert et feront du back office sur des dossiers déjà ouverts ; par la suite tous intégreront un cursus de formation traditionnelle sur les matières non maîtrisées et passeront sur le numéro vert.
Il est prévu qu’ils soient sur le site de La Roche Sur Yon et viendront en plus des embauches prévues sur ce site ( 25 personnes) .
Nous avons bien entendu fait part de notre mécontentement sur le manque de solution à court terme. En effet au vu de la situation et pour les assistants déjà exténués , attendre jusqu’au 1er décembre pour un potentiel soulagement de la charge n’est pas acceptable.
De plus, nous émettons des réserves sur la faisabilité et le réel impact que cette mesure pourra avoir sur la charge et le moral des assistants :
-Nous craignons qu’il soit difficile de trouver 40 personnes expérimentées à La Roche Sur Yon
-La direction évalue le besoin aujourd’hui à 40 personnes, ce nombre sera-t-il suffisant en décembre alors que la situation ne fait qu’empirer de mois en mois ?
-Comment les assistants vont-ils percevoir l’embauche de personnes qui seront dégagés de toute contraintes téléphoniques numéro vert même si cela n’est que momentanée ? La future « normalisation » de leur situation sera-t-elle si simple ?Resteront-ils ? quid de difficultés entre assistants d’une même UGS avec des niveaux de rémunération différentes ?
Lors de l’entretien, nos interlocuteurs ont admis que l’anticipation des besoins humains n’a pas été suffisant. Nous avons demandé à être intégrer dans la réflexions de la mise en place du nouveau mécanisme de recrutement.
Le 30 juillet, nous avons eu un entretien avec Laurent Desanglois.
Nous avons souhaité qu’il nous donne sa vision sur
-Les conditions de travail des assistants aujourd’hui comment sommes-nous arrivé à un tel constat et comment voit-il l’évolution du poste de l’assistant à court , moyen et long termes
-Le fait que les solutions exposées étaient des outils informatiques et ne tenait pas assez compte selon nous de l’humain.
La direction est consciente que la situation était difficile avant le confinement et dit ne pas l’oublier.
Laurent Desanglois nous a certifié qu’en aucun cas la direction n’avait pour politique de tirer sur la corde et de mettre les assistants dans cette situation avec une telle charge de travail . Ils partagent notre vision que le capital humain de l’entreprise est une richesse et donc qu’il ne devait pas être malmené. Malheureusement selon eux, la situation n’est pas voulue mais subi par tous. Ils reconnaissent qu’à court terme, ils ne trouvent pas de solution avec les contraintes qu’ils se donnent.
Pour eux le confinement a accentué le problème car il a entraîné un manque de ressources pour différentes raisons
-Toutes les embauches prévues n’ ont pu être faites.
Les assistant sont ressortis fatigués par le fait de concilier vie pro et perso en un seul lieu et en même temps . Depuis, l’intensité de la reprise d’activité a fini par avoir raison de leur santé d’où un nombre important d’arrêt maladie à court terme .
-La prise en compte du turn over dans le recrutement a été insuffisante.
Certaines personnes recrutées récemment n’ont pas été retenues ou de sont pas restées , une attention particulière va devoir être portée pour que ces « erreurs » de recrutement disparaissent.
En effet, lors de démissions, les stocks sont reportés sur les effectifs présents dans l’UGS et la charge alors devient insoutenable pour les assistants présents qui se retrouvent avec un encours trop élevé. Ce report de charge entraîne un découragement des assistants qui peuvent être tentés de démissionner à leur tour .
La direction pense qu’une fois les embauches faites et les recrutés formés les choses rentreront dans l’ordre au niveau des effectifs ( donc dans plusieurs mois…), leur seule crainte restant les Longues Absences Maladies pour lesquelles il n’ ont pas de visibilité de retour et donc ne peuvent recruter en conséquence . …Nous leur avons répondu que l’anticipation serait d’embaucher plus en amont pour palier au turn-over, aux évolutions professionnelles en internes, aux maladies, aux hausse d’activités liées aux EVT…
La direction ne remets pas en cause les prévisions de recrutement, qui pour elle, sont essentiellement basées en fonction du nombre d’ouvertures.
Bien sûr, nous ne partageons pas leur point de vue et pensons qu’une politique de recrutement plus ambitieuse nous aurait épargné cette situation difficiles. Il doit être tenu compte de la charge globale et non des seules nombres de déclarations.
Pour notre part, afin d’améliorer les conditions de travail de chaque assistant et afin qu’elles reviennent à un niveau acceptable, voici les points sur lesquels nous allons demander à la direction des précisions et /ou des objectifs de résultat :
-La gestion des ressources humaine suite à des démissions, des longues absences, des absences courtes,
-Les flux quotidien et hebdomadaire avec la charge en back-office ( ged, mails, agendas, formation, réunion … ) et la charge téléphone ( nombre d’heure n° vert / semaine … nombre d’heure de LD …)
-La gestion des stocks
-Les limites de la polyvalence
-Le télétravail
-Les temps partiels
Pour ce faire, nous souhaitons toujours une étude de postes pour toutes les fonctions réalisée par un cabinet extérieur.
Aussi, nous avons également réitéré nos demandes à la direction, à savoir un maximum de 6 sessions par semaine (5 jours), une baisse du TAT (à définir ensembles) et augmenter l’inter appel. Sur le premier point (6 sessions / semaine) nous avons été entendu mais cela reste provisoire
Nous avons eu ensuite une réunion avec Olivier Rattez.
La solution de la Direction pour palier au surplus de charge que vivent les assistant aujourd’hui nous a ensuite été exposée : le projet de l’embauche au 1 er décembre de 40 personnes déjà opérationnelles sur une ou plusieurs matières en CDI.
La direction a donc choisit de traiter le problème de surcharge en s’attaquant directement aux stocks et avec cette mesure, elle espère réduire le nombre de flux entrants et sortants par assistant .
Les 40 nouveaux embauchés auront pour mission de traités du stock pour un équivalent de 50 000 dossiers.
Dans l’immédiat et ce pour une durée indéterminée ( pour l’instant) , ils seront dégagés de toutes contraintes liées au numéro vert et feront du back office sur des dossiers déjà ouverts ; par la suite tous intégreront un cursus de formation traditionnelle sur les matières non maîtrisées et passeront sur le numéro vert.
Il est prévu qu’ils soient sur le site de La Roche Sur Yon et viendront en plus des embauches prévues sur ce site ( 25 personnes) .
Nous avons bien entendu fait part de notre mécontentement sur le manque de solution à court terme. En effet au vu de la situation et pour les assistants déjà exténués , attendre jusqu’au 1er décembre pour un potentiel soulagement de la charge n’est pas acceptable.
De plus, nous émettons des réserves sur la faisabilité et le réel impact que cette mesure pourra avoir sur la charge et le moral des assistants :
-Nous craignons qu’il soit difficile de trouver 40 personnes expérimentées à La Roche Sur Yon
-La direction évalue le besoin aujourd’hui à 40 personnes, ce nombre sera-t-il suffisant en décembre alors que la situation ne fait qu’empirer de mois en mois ?
-Comment les assistants vont-ils percevoir l’embauche de personnes qui seront dégagés de toute contraintes téléphoniques numéro vert même si cela n’est que momentanée ? La future « normalisation » de leur situation sera-t-elle si simple ?Resteront-ils ? quid de difficultés entre assistants d’une même UGS avec des niveaux de rémunération différentes ?
Lors de l’entretien, nos interlocuteurs ont admis que l’anticipation des besoins humains n’a pas été suffisant. Nous avons demandé à être intégrer dans la réflexions de la mise en place du nouveau mécanisme de recrutement.
RETOUR AU MONDE D’AVANT :
L’ÉTÉ SERA CHAUD
L’ÉTÉ SERA CHAUD
Alors oui, la situation sanitaire, pour le moment s’améliore, les centres d’accueil pour enfants sont censés être ré-ouverts mais tout n’est pas aussi simple.
Les situations personnelles ne seront toujours pas aussi claires ou simples pour tout le monde.
Comme cela a été annoncé, nous partons vers un retour progressif sur sites au 06 juillet prochain, date à laquelle nous devrions partir sur un roulement à valider en fonction des capacitaires de chaque site.
D’ailleurs, il faudra, le temps venu, prendre un moment pour faire le point sur ce que nous avons vécu et notre vision de l’avenir des métiers et de la façon de les exercer.
Vous avez tous bien compris que l’entreprise pousse pour un retour sur site. Elle estime que les salariés prendront mieux leur charge afin de revenir à la normale.
Mais quelle normalité ? Si elle parle de la normalité d’avant le confinement, cela signifie la surcharge des postes… On ne peut pas accepter cela. A ce titre, nous avons déjà alerté la direction.
En effet, en début d’année, la direction, avait prévu des embauches « normales » liées à l’évolution du portefeuille et des embauches supplémentaires notamment des CDD pour tenter de palier à cette surcharge. Cependant, il semble que la crise sanitaire a fait volé en éclats l’arrivée de ces aides nécessaires.
Alors, on peut légitimement se demander si les difficultés que nous vivons et celles que la direction craint sont dues aux conditions atypiques de travail ou si cela n’est pas aussi la conséquence de longues années de dysfonctionnements en terme de volonté de recrutement. Nous payons cette volonté d’optimiser à outrance notre productivité.
Pour la direction, l’humain semble être une variable d’ajustement.
Il y a 2 semaines, le groupe Planif 21 a lancé ses propositions et ses tests.
Nous savons que le timing ne fait pas tout mais lancer ces tests au moment même ou les collègues font l’effort de revenir nous semble une erreur tant sur le fond que sur la forme.
Augmenter le nombre d’heures en sessions le lundi est donc l’idée qui est ressortie du groupe de travail. Ainsi, nous serons à 6 sessions par semaine du mardi au vendredi et le lundi c’est bonus. Cela ne répond nullement au besoin des salariés qui sont déjà au-delà de ce qui est acceptable en terme de temps de session.
Nous rappelons que le principe de 6 sessions par semaine avec la durée des sessions actuelles reste le maximum acceptable.
Après des conditions de travail à domicile difficiles, il ne faut pas que l’entreprise, du fait d’une politique de recrutement inadaptée, dégrade l’humain.
Nous avons sollicité des données chiffrées à l’entreprise afin d’avoir une vision du temps de travail réel et des habitudes de travail lors de ce confinement.
En effet, nous pensons que ces éléments sont nécessaires afin de pouvoir analyser le travail fourni pendant la crise sanitaire. Nous avons la conviction que le remise à flots partielle des postes n’est pas seulement liée à une baisse de l’activité en début de confinement mais aussi à l’implication de chacun d’entre nous.
Cela confirmerait notre vision qui est que les salariés ne ressortent pas reposés de cette période, ce qui n’est pas une évidence pour la direction.
En tout cas, il est certain que les semaines qui s’annoncent seront encore plus difficiles que la période actuelle qui est déjà elle-même surchargées. Il suffit pour s’en convaincre de passer quelques minutes en session…
Les situations personnelles ne seront toujours pas aussi claires ou simples pour tout le monde.
Comme cela a été annoncé, nous partons vers un retour progressif sur sites au 06 juillet prochain, date à laquelle nous devrions partir sur un roulement à valider en fonction des capacitaires de chaque site.
D’ailleurs, il faudra, le temps venu, prendre un moment pour faire le point sur ce que nous avons vécu et notre vision de l’avenir des métiers et de la façon de les exercer.
Vous avez tous bien compris que l’entreprise pousse pour un retour sur site. Elle estime que les salariés prendront mieux leur charge afin de revenir à la normale.
Mais quelle normalité ? Si elle parle de la normalité d’avant le confinement, cela signifie la surcharge des postes… On ne peut pas accepter cela. A ce titre, nous avons déjà alerté la direction.
En effet, en début d’année, la direction, avait prévu des embauches « normales » liées à l’évolution du portefeuille et des embauches supplémentaires notamment des CDD pour tenter de palier à cette surcharge. Cependant, il semble que la crise sanitaire a fait volé en éclats l’arrivée de ces aides nécessaires.
Alors, on peut légitimement se demander si les difficultés que nous vivons et celles que la direction craint sont dues aux conditions atypiques de travail ou si cela n’est pas aussi la conséquence de longues années de dysfonctionnements en terme de volonté de recrutement. Nous payons cette volonté d’optimiser à outrance notre productivité.
Pour la direction, l’humain semble être une variable d’ajustement.
Il y a 2 semaines, le groupe Planif 21 a lancé ses propositions et ses tests.
Nous savons que le timing ne fait pas tout mais lancer ces tests au moment même ou les collègues font l’effort de revenir nous semble une erreur tant sur le fond que sur la forme.
Augmenter le nombre d’heures en sessions le lundi est donc l’idée qui est ressortie du groupe de travail. Ainsi, nous serons à 6 sessions par semaine du mardi au vendredi et le lundi c’est bonus. Cela ne répond nullement au besoin des salariés qui sont déjà au-delà de ce qui est acceptable en terme de temps de session.
Nous rappelons que le principe de 6 sessions par semaine avec la durée des sessions actuelles reste le maximum acceptable.
Après des conditions de travail à domicile difficiles, il ne faut pas que l’entreprise, du fait d’une politique de recrutement inadaptée, dégrade l’humain.
Nous avons sollicité des données chiffrées à l’entreprise afin d’avoir une vision du temps de travail réel et des habitudes de travail lors de ce confinement.
En effet, nous pensons que ces éléments sont nécessaires afin de pouvoir analyser le travail fourni pendant la crise sanitaire. Nous avons la conviction que le remise à flots partielle des postes n’est pas seulement liée à une baisse de l’activité en début de confinement mais aussi à l’implication de chacun d’entre nous.
Cela confirmerait notre vision qui est que les salariés ne ressortent pas reposés de cette période, ce qui n’est pas une évidence pour la direction.
En tout cas, il est certain que les semaines qui s’annoncent seront encore plus difficiles que la période actuelle qui est déjà elle-même surchargées. Il suffit pour s’en convaincre de passer quelques minutes en session…
CARTE TICKET RESTAURANT
Dernièrement , vous avez dû recevoir votre carte de paiement Ticket Restaurant à votre domicile.
Le déploiement de cette carte en remplacement des Tickets Restaurants a été décidé par la direction sans aucune consultation des Organisations Syndicales.
Nous déplorons ce manque de communication.
En effet, une concertation nous aurait permis de revendiquer à nouveau une revalorisation des titres restaurant à charge exclusive de la part patronale (demande faite à plusieurs reprises) pour palier à la perte de pouvoir d’achat induite par le passage à la carte pour les salariés SIRCA compte tenu des restrictions de la carte (plafond journalier, jours d'utilisations possible, partage avec les membres de la famille, dépanner un collègue, faire un don à un nécessiteux dans la rue...).
Cependant, pour information, suite à la parution du décret relatif au doublement du plafond d’utilisation des tickets restaurant publié au Journal official ce jour.
Le plafond de paiement initialement fixé à 19 euros passe à 38 euros et ce jusqu’au 31 Décembre 2020, la carte sera également utilisable les dimanches et jours fériés dans les restaurants, les hôtels-restaurants ou les débits de boissons (seulement chez eux)
Notre carte est donc utilisable du Lundi au Samedi jusqu’à 19 euros comme d’habitude dans vos commerces (charcutier, magasin d’alimentation…)
Mais dans les restaurants, les hôtels-restaurants ou les débits de boissons le plafond de notre carte est doublé (jusqu’à 38 euros) et elle est utilisable également le dimanche jusqu’au 31 Décembre 2020.
La mesure entre en vigueur dès ce vendredi.
Le déploiement de cette carte en remplacement des Tickets Restaurants a été décidé par la direction sans aucune consultation des Organisations Syndicales.
Nous déplorons ce manque de communication.
En effet, une concertation nous aurait permis de revendiquer à nouveau une revalorisation des titres restaurant à charge exclusive de la part patronale (demande faite à plusieurs reprises) pour palier à la perte de pouvoir d’achat induite par le passage à la carte pour les salariés SIRCA compte tenu des restrictions de la carte (plafond journalier, jours d'utilisations possible, partage avec les membres de la famille, dépanner un collègue, faire un don à un nécessiteux dans la rue...).
Cependant, pour information, suite à la parution du décret relatif au doublement du plafond d’utilisation des tickets restaurant publié au Journal official ce jour.
Le plafond de paiement initialement fixé à 19 euros passe à 38 euros et ce jusqu’au 31 Décembre 2020, la carte sera également utilisable les dimanches et jours fériés dans les restaurants, les hôtels-restaurants ou les débits de boissons (seulement chez eux)
Notre carte est donc utilisable du Lundi au Samedi jusqu’à 19 euros comme d’habitude dans vos commerces (charcutier, magasin d’alimentation…)
Mais dans les restaurants, les hôtels-restaurants ou les débits de boissons le plafond de notre carte est doublé (jusqu’à 38 euros) et elle est utilisable également le dimanche jusqu’au 31 Décembre 2020.
La mesure entre en vigueur dès ce vendredi.
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